L’OMBRE DU BIENFAIT

La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau pessimiste où la globe semblait déployer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une mirage. Une cadence inconnue modelait la boue

Dans la lumière diffuse d’une aurore teintée de rose, les contrées des contes de fées s’éveillaient avec la douceur intime aux légendes médiévales. Les plaines brumeuses, où la aiguail perlait sur n'importe quel peu d’herbe, dissimulaient mille symboliques que seuls les clients sensibles pouvaient percevoir. Au bornage de ce quatriè